Au second jour de la semaine de l’environnement, le ministre gabonais des eaux et forêts le Pr Lee White s’est rendu sur le site d’exposition de la baie des rois où sont exposés les produits issus de la forêt gabonaise et les produits recyclés et transformer du plastique.
En compagnie des acteurs engagés dans la lutte contre la pollution de l’environnement et la protection de la nature, le patron des eaux et forêts chargé de la protection de l’environnement au Gabon a touché du doigt les merveilles de la forêt gabonaise et les produits issus du recyclage des déchets plastiques. <<Tout les adultes sont coupables de la pollution de l’environnement et ce sont les jeunes qui vont être obligé de nettoyer donc c’est l’occasion de m’excuser devant cette jeunesse et de les encourager à ne pas faire les mêmes erreurs, ne pas jeter les objets plastiques mais plutôt de les recycler. Par ce que l’environnement c’est l’affaire de tous et nous devons ensemble discuter afin de trouver des voies et moyens pour léguer à nos jeunes générations une planète saine et sobres. Nous avons procédé aujourd’hui à la visite des stands d’exposition du marché vert ici à la baie des rois, nous avons apprécié le potentiel environnementale exposé par les exposants, à savoir le cosmétique, le rotin, les produits de la médecine, l’alimentation surtout l’aie sauvage, tout ceci montre qu’il y a des produits dans nos forêts qui peuvent être valoriser et c’est à travers cette valorisation qu’on montre la valeur de la forêt et sa préservation.>> A laissé entendre le ministre Pr Lee White.
Alors que le Gabon frontalier à la mer et l’océan, subit régulièrement la pollution marine, le Pr Lee White pense pour sa part qu’il faut agir à deux niveaux sur les questions de pollution marine par ce qu’il y a 85% de plastique qui pollue l’eau. Au niveau local, il faut adopter les gestes de recyclage, éliminer les gestes de jeter le plastique dans la nature, adopter les habitudes du recyclage. <<Malheureusement même si on nettoie les eaux du Gabon, le courant océanique rapporte les déchets au sud.
Aujourd’hui on reçoit une grande partie de la poubelle marine de Kinshasa en provenance du fleuve Congo. C’est une problématique internationale pour laquelle il nous faut travailler avec la communauté internationale afin de trouver des solutions idoines. >> A-t-il souligné.
Saint clair kengue