26 étudiants du Cameroun, du Togo, du Kenya, du Benin et de l’Afrique du Sud ont bénéficié de 72h de cours visant le renforcement des aptitudes des leaders africains demain à mieux cerner les enjeux climatiques pour mieux défendre les intérêts de leurs pays. C’est l’Institut des relations internationales qui a abrité ces travaux avec l’appui de la Konrad Adenauer Stiftung.
Tout a été engagé ce 21 janvier par une cérémonie solennelle d’ouverture du séminaire. Un moment sobre et bref placé sous la coordination de Salomon Eheth, Directeur de l’Institut des relations internationales du Cameroun, qui jouit de l’honneur de recevoir 26 étudiants africains sur son campus. La diplomatie climatique est ici exaltée.
Cette initiative est soutenue par la Konrad Adenauer Stiftung. Anja Berretta, représentant régional du programme de sécurité énergétique et du changement climatique de cette organisation a honoré la circonstance de sa présence. En tant que partenaire majeur, elle livre la vision sous-jacente de ce cours qui se veut sélectif. Il est question durant ces trois jours de donner aux étudiants diplomates « d’acquérir de profondes les connaissances sur les risques d’insécurité engrangés par les changements climatiques en Afrique subsaharienne. Les cours permettrons de s’adresser les causes et les conséquences du changement climatique, afin de réduire les problèmes de pénurie d’eau, de déplacement massif des populations et des conflits armés aux envergures géopolitiques importantes ».
Ces classes temporaires, sont la fin d’un processus qui a été entamé par un programme d’enseignement divulgué par les professeurs d’Adelphi, et suivi des jeunes diplomates de l’environnement au moyen de la technologie numérique de l’information et de la communication.
William Tadum Tadum