Les librevilois n’en reviennent toujours pas après la tournée effectuée dans les sous quartiers de libreville il y a quelques jours par le chef de l’État Ali Bongo en compagnie du premier ministre chef du gouvernement, du ministre d’État, ministre de l’intérieur, et du coordonnateur général des affaires présidentielles. Objectif touché du doigt les réalités quotidiennes des populations et l état de dégradation des artères de la cité capitale.
Ali Bongo est désormais au parfum des difficultés vécues par les populations gabonaises, si l’on se rappel que le chef de l’État dans un de ces discours à la nation avait laissé entendre je cite :<< je ne serais heureux que lorsque vous serrez heureux..>> ou encore <<je fais ce que je dis et je dis ce que je fais.>> alors plus de doute le chef de l’État a pris acte des souffrances endurées par ces populations. Des voies de sortir extrêmement dégradées, des nids d’éléphants à n’en plus finir, des tas d’immondices ça et là, voilà le constat dressé au chef de l’État qui ne ménage aucun effort pour offrir à ces populations un meilleur vivre, hélas la réalité est là et nul doute que les sanctions seront à la hauteur des responsabilités, n’en déplaise à certains individus de mauvaise foi qui tapis dans l’ombre instrumentalise une certaine presse mercantile dans le seul but de saboter cet acte surprise du chef de l’État Ali Bongo qui vient de démontrer qu’il ne peut être pris en otage par personne et pas même les oiseaux de mauvaise augure qui écume la sphère politique gabonaise.
Saint Clair kengue