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GABON/TOURISME, L’HISTOIRE DE LIBREVILLE CONTE PAR LE RDVTOUR

LIBREVILLE ET SES MERVEILLES

Baptisé city tour de Libreville, la riche et grande histoire de la capitale gabonaise était au menu de la visite offerte par le RDVtour structure œuvrant dans la promotion du tourisme et de l’image du Gabon le 25 juillet 2020 à la presse nationale et internationale. Une histoire de Libreville ponctué d’anecdote, de conte et de légende pour la gloire des touristes racontés par le RDVtour.

Considéré de par son appellation comme le lieu où furent libérer et affranchi les derniers esclaves de la traite négrière, l’histoire de la capitale gabonaise Libreville s’étend sur plus de 2 millénaires et remonte autour de 3000 ans avant Jésus-Christ. « C’est l’administration coloniale installé au large de la mer qui décréta la ville comme capitale du Gabon et choisie d’y rassembler toute les institutions administratives. En ce moment, y résidait déjà les clans Diwa (arongowédiwa), les arewekassa, 1500 ans après jésus christ au niveau de l’actuel palais de justice et de la cité de la démocratie dans le 1er arrondissement de Libreville. La rive droite de l’estuaire appelé Arongo Mbeni yi ndiwa (la mer large et profonde de ndiwa) sur laquelle est situé Libreville était constituée de village et des groupes d’habitation assez importantes pour former une unité clanique et spirituelle avec des lieux privilégiés et garant des valeurs traditionnelles. Il est a souligné que les Mpongwé après avoir résisté à la pression exercée par le commandant Bouet Willaumez capitulèrent en cédant leur territoire à la France par des traités n’ayant aucune valeur juridique, ces derniers s’inspirèrent alors du model anglais de libération des esclaves. Les touristes résidents ou de passage à Libreville peuvent retenir que c’est Moutier qui fut le premier maire de Libreville et cela durant 24h seulement. Les migrations des populations nous enseignent que la rive droite de l’estuaire furent occupé progressivement jusqu’au 19e siècle principalement par les Bengas, les akèlès, les sékyanis et les fangs. Le roi Louis Kaka Rapono dit Quaben chef des Aguékaza fonda son village bien avant 1815 à partir de la rivière Anwondo à la descente de la fondation Jeanne Ebori ou le pont deemi sépare la vallée sainte marie du Quaben jusqu’à l’actuel 1er arrondissement de Libreville. Le quartier batterie 4 fait référence à 4 batteries de canons destinées à tirés sur l’ennemi c’est une appellation qui date de la seconde guerre mondiale et le quartier gros bouquet nait d’après les nombreux manguiers qui poussaient aux environs du camp de la gendarmerie et de la poste. A Libreville, on trouve le quartier cocotier dans le 2e arrondissement et qui jadis étais considéré comme le village des fangs établi près des cocoterais missionnaires, il y a également la rivière Anwondo ou se situe le Ndjanga (génie protecteur) et celle de Mbatavea situé dans l’ancien village Mpira près du siège de la CNSS. La mission sainte marie fondée en 1884 la 2e construite au Gabon et l’ancienne résidence à l’architecture coloniale de l’archevêque de Libreville et la nouvelle résidence construite en une semaine pour accueillir le pape Jean Paul II.

LE PÈRE DE L’INDÉPENDANCE DU GABON LÉON MBA

Du 2e au 3e arrondissement nous sommes à montagne sainte diminutif de montagne sainte Étienne Vané redoutable chef Benga du Cap esterias donc la conversion en 1885 au catholicisme et à sa renonciation à la polygamie fut installé avec sa famille vers ce lieu élevé pour échapper à la mort pour avoir trahit les siens. C’est à cet endroit que se trouve plusieurs siègent abritant les banques et les compagnies d’assurances les cours d’eau ont également joué un rôle important dans la délimitation des arrondissements à l’instar de la rivière Lowe ou commence le vieux Glass de l’époque ou Alamba qui signifie tour d’adresse dans le 4e arrondissement soit supercherie pour décrire les habitants de Glass qui avait la réputation d’être facétieux. Également dans le quatrième arrondissement on trouve des quartiers comme London non donnée par les anciens employés d’une maison de commerce anglaise en l’occurrence John Holt Hatton et cookson… au cours de cette promenade dans les différents arrondissements qui constitue Libreville, l’on apprendra que la mission Baraka mot portugais était un ancien baraquement d’esclaves avant d’être la première mission au Gabon bâti en 1842, ainsi que la première école par des protestants. Non loin de là fut érigé le cimetière Mpongwé. L’une des curiosités ethnique qui suscite souvent l’attention des visiteurs dans cet arrondissement est sans doute le groupe ethnique Akèlè disséminé à travers le Gabon et plus précisément à Nombayakèlè (la colline des akèlès). Des personnages à l’instar de Raponda Walker premier prêtre gabonais ne saurait être oublié dans l’histoire de Libreville avec création de la première école au Gabon en 1845. En novembre 1940 Libreville est le théâtre des affrontements meurtriers de la fin de la campagne du Gabon qui sous administration colonial choisit de rallier le compte de la France libre contre celui des colons Vichystes. C’est de Libreville que partirons de nombreux combattants de la liberté incorporés dans les forces qui deviendra plus tard la 2e division blindée du maréchal Leclerc et rejoindra le Tchad ou il est nommée par le général de Gaule commandant militaire du Tchad. La colonne traversa l’Afrique du nord pour libérer la France sous occupation en 1944.

En 1956 Léon Mba est élu maire de Libreville. Il deviendra quelques années plus tard le premier président de la république gabonaise jusqu’à sa mort en novembre 1967. L’indépendance du Gabon est proclamée le 17 aout 1960 dans la future capitale. Un mausolée est d’ailleurs érigé en sa mémoire dans le 3e arrondissement de Libreville boulevard Léon Mba après y être née, il a tenu à y être enterré. » A relaté tour à tour durant la visite Arnaud Ikango responsable du RDVtour et le guide touristique Armand Moubamba de quoi façonner les touristes et visiteurs de Libreville. Une cité capitale qui regorge d’un patrimoine remplit d’histoire et de découverte comptée par les professionnels du RDVTOUR bien représenté dans le Gabon.

SAINT CLAIR KENGUE

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