Organisée à la suite de l’atelier régional sur la gestion des eaux transfrontalières en Afrique Centrale, cette rencontre des jeunes acteurs du secteur de l’eau et du climat vise un arrimage intergénérationnel, caution d’un engagement synchronisé et de taille.
Rédaction Le Réseau eau et climat d’organisation de jeunes d’Afrique centrale (Récojac) s’est réuni le 09 novembre dernier à Douala la capitale économique du Cameroun dans le cadre d’un atelier de renforcement de capacité de ces membres. Au total 25 personnes venues du Cameroun, du Gabon, du Congo, de la République centrafricaine, du Tchad, de Sao Tome et Principe. Cette édition, placée sous la direction de la coordonnatrice sous régionale Michelle Okala, a jouer la carte de l’amélioration de l’interaction et de la communication entre les jeunes et les experts chevronnés, dans le but d’élaborer des messages communs; Identifier conjointement des moyens pour améliorer l’engagement des jeunes dans les processus de gouvernance de l’eau et du climat en Afrique centrale; Le tout chutant sur les engagements clairs de la part des partenaires stratégiques, pour faciliter le déploiement en 2020. Les échanges ont porté sur le rôle des jeunes et possibilités de participation des jeunes à la gestion des ressources en eau transfrontières. Les participants en sortent enrichis. D’avantages étoffés en ce qui concerne l’efficience maximale de leurs activités visant à promouvoir la paix bleue dans le bassin du fleuve Tchad. La question des financements reste fortement préoccupante. C’est la raison pour laquelle les attitudes et actes à poser pour pouvoir bénéficier des opportunités financières ont été à l’occasion revus et corriger. L’apport de la jeune femme dans le combat pour le climat se veut ici très préoccupant. La finalité de ce dialogue intergénérationnel est de créer un espace de débat et de vision partagée entre jeunes et experts seniors. Une nécessité pour inclure les jeunes dans le secteur de l’eau et du climat et les aider à améliorer leur potentiel pour le développement de l’Afrique centrale par l’échange d’idées. Il y a 1,8 milliard de jeunes de 10 à 24 ans, soit près du quart de la population mondiale, et 90 % d’entre eux vivent dans des pays en développement. Le pouvoir de 1,8 milliard de personnes ne peut être ignoré et leur engagement ou leur désintérêt déterminera si oui ou non les objectifs du Millénaire pour le développement seront atteints. Photo de famille prise en point final de la session de travail.