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FAO, la promotion d’une agriculture saine et durable au coeur d’une visioconférence sous-régional

L’organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) bureau sous-régional de l’Afrique Centrale a organisé le 26 mai 2021 par visioconférence, l’atelier de clôture du projet sous-régional «Programme de renforcement des capacités des Pays à identifier et faire le suivi des incidents relatifs aux Préparations Pesticides Extremement Dangereuses (PPED) et Pesticides Extrėmement Dangereux (PDE) le but étant de promouvoir les aternatives nécessaires aux PPED et aux PED» mis en oeuvre depuis 2018 dans trois pays d’Afrique centrale, à savoir le Cameroun, le Gabon et la Guinée Equatoriale. Y prenaient par au côté du Coordonnateur sous-régional du bureau Afrique centrale par intérim de la FAO Lionel Kinadjan, le ministre Gabonais de l’agriculture Biendi Maganga Moussavou et ses paires des pays concernés.

Cette rencontre sous régionale a  consisté à présenter aux parties prenantes et aux partenaires les principaux produits résultant de la mise en oeuvre du projet, avec un accent particulier sur les résultats de la prospection des préparations des pesticides chimiques utilisées sur I’ensemble des territoires des pays bénéficiaires, les listes des pesticides en circulation ainsi que les résultats sur la sensibilisation des acteurs du secteur agricole. 

L’atelier qui a regroupé une trentaine de participants en provenance des 3 paysbénéficiaires du projet, à savoir: les représentants des Ministères en charge de l’Agriculture et de la Santé du Cameroun, du Gabon et de la Guinée Equatoriale, les Coordonnateurs nationaux du projet, les représentants des organisations partenaires, ainsi que les ONGs a débuté par des remarques liminaires du Coordonnateur du Bureau Sous-régional FAO Afrique centrale par intérim, Lionel Kinadjan et le discours d’ouverture du Ministre gabonais de I’Agriculture, de l’Elevage, de la Pêche et de L’alimentation, Biendi Maganga Moussavou.

Pour rappel, le projet en objet consiste à développer un mécanisme de collecte et de diffusion dinformations relatives aux incidents de santé publique etenvironnementale, résultant de l’utilisation des préparations des pesticides extrêmement et hautement dangereux, dans les conditions locales actuelles. il sagit plus précisément dídentifier et de promouvoir des méthodes alternatives de lutte contre les ravageurs et maladies des cultures.

L’objectif a terme, est de developper et de mettre en oeuvre une strategie capable de mieux diagnostiquer l’empoisonnement aigu dú à une utilisation inappropriée des pesticides de synthese, de rapporter les cas d’empoisonnement dus a ces pesticides, et d’identifier et promouvoir les méthodes alternatives nécessaires, en lieu et place des pesticides dangereux identifiés.


Saint Clair Kengue

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